Santé, Politique santé Octobre Rose : le Département se mobilise pour le dépistage du cancer du sein

Octobre rose
© Département de Seine-et-Marne
À l'occasion du mois "Octobre Rose", le Département de Seine-et-Marne s’engage à travers la Maison départementale des solidarités de Chelles pour sensibiliser à l'importance de la prévention et du dépistage du cancer du sein chez les femmes. Plusieurs actions de sensibilisation sont organisées dès le 1er octobre 2024.

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En plus du Mois de l’Aidant organisé par le Département de Seine-et-Marne en faveur des aidants du territoire, le mois d’octobre est également consacré à la lutte contre le cancer du sein. À l’occasion d’Octobre Rose, plusieurs opérations de communication sont organisées à la Maison départementale des solidarités (MDS) de Chelles dès le mardi 1er octobre.

Des actions de sensibilisation

Au programme à la MDS de Chelles :

  • 14h à 15h30 : Présentation de l'association "Plus Rose la Vie" et de ses actions de soutien auprès des femmes touchées par un cancer du sein et surtout de l'importance de la prévention par M. José Pierre, Président de l'association et intervenant depuis plusieurs années sur la ville de Chelles. Intervention du Dr Urosevic, cheffe du service PMI2S sur la sensibilisation à la palpation et l’autopalpation.
  • 15h30 à 17h : confection de rubans roses qui seront destinés à toutes les personnes qui se présenteront à la Maison départementale des solidarités en octobre en leur proposant des créneaux de rendez-vous supplémentaires mis en place sur les consultations.  

Le saviez-vous ?

Les Centres de santé sexuelle des Maisons départementales des solidarités proposent le dépistage du cancer du col de l’utérus chez les femmes éloignées des soins.

En février 2022, le Département a lancé une campagne de dépistage du cancer du col de l’utérus en collaboration avec la CPAM et la PMI de Chelles. Cette initiative, qui s’est ensuite étendue à Roissy-en-Brie, vise à promouvoir la prévention du cancer du col de l’utérus.

« Elle met en lumière le rôle des sages-femmes, qui peuvent proposer aux femmes un suivi gynécologique tout au long de leur vie », explique le docteur Valérie Urosevic, cheffe du Service de la protection maternelle et infantile et de santé sexuelle (SPMI2S) à la Maison départementale des solidarités de Chelles.

Le frottis est remis à la patiente, qui le dépose ensuite au laboratoire de son choix. Cet acte est entièrement pris en charge par la CPAM. Les résultats pathologiques sont transmis au médecin du centre de planification familiale, qui informe la patiente et l’oriente vers une consultation spécialisée.

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