« Être chef de projet en sécurité routière demande un mélange de compétences techniques et humaines comme par exemple anticiper le comportement des usagers, en termes de vitesse ou de trafic, et l’environnement routier.
L’attention aux détails est aussi cruciale : une petite erreur dans un aménagement peut mettre des vies en danger, par exemple un panneau de signalisation placé à la mauvaise hauteur. »
Ce métier requiert également de la pédagogie puisqu’il faut savoir expliquer des concepts techniques de façon ludique au grand public : « On tient des stands de sécurité routière dans des événements. Lors de ces interventions, je m’adapte aux différents publics présents pour être le plus pédagogique possible », explique Azouaou.