Pour cette 78e édition, « la course au soleil » débarque en Seine-et-Marne. Les coureurs entameront leur périple sur le sol seine-et-marnais pendant la deuxième étape, lundi 9 mars vers 14h30. Aux abords de la forêt de Fontainebleau, les cyclistes passeront notamment par Achères-la-Forêt en direction du hameau du Puiselet à Saint-Pierre-lès-Nemours avant de rejoindre la finale de l’étape à Chalette-sur-Loing dans le Loiret.
Créé en 1933, le Paris-Nice est une course cycliste sur route entièrement masculine. Pour cette édition 2020, huit étapes et 1 217 kilomètres sont au programme. Du dimanche 8 mars au dimanche 15 mars, 19 équipes s’élanceront depuis Plaisir, dans les Yvelines, à destination de Nice. Le peloton traversera en tout treize départements. Les coureurs du Paris-Nice n’avaient pas foulé les routes seine-et-marnaises depuis 2014.
« Je me réjouis de ce retour du Paris-Nice en Seine-et-Marne. Au-delà des nombreux évènements grand public organisés en Seine-et-Marne, le Département a la volonté de renouer avec l’accueil de grandes compétitions de cyclisme d’envergure nationale ou internationale », déclare Patrick Septiers, Président du Département de Seine-et-Marne.
Avec plus de 4 000 kilomètres de routes départementales, de nombreuses pistes cyclables et chemins de halages et de forêts, la Seine-et-Marne, véritable poumon vert de l’Ile-de-France, dispose en effet de multiples atouts qui en font un terrain de jeux idéal pour s’adapter et accueillir des compétitions de cyclisme.
« Dans la continuité des nombreuses actions menées pour promouvoir le sport, notamment de haut niveau, le Département entend ainsi réinvestir la pratique du vélo à tous les niveaux afin de faire de la Seine-et-Marne une véritable terre d’accueil de la petite reine » selon Martine Bullot, Vice-Présidente en charge des sports et de la jeunesse.
Cette démarche répond également à la volonté du Département de faire du vélo un axe majeur de la politique départementale de valorisation et d’attractivité du territoire, notamment au niveau touristique à travers le slow tourisme, ou encore des mobilités du quotidien à travers le plan vélo et le schéma départemental des itinéraires touristiques.
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